Une découverte inatendue

Je me promener au coter du Roi et les courtisans suivait comme des petits toutous. Ma demoiselle de compagnie me suivait dans une robe verte (sa couleur préférer). Quand a moi elle était blanche et légère sans plus de froufrou et dentelles.
Je parlais avec le Roi des nouveaux aménagement des jardins parfumées du Trianon. J'espérer qu'il y aurait des tulipes mais le roi préférer les iris fleur plus rares. Eve apparemment écouter d'une oreille distraite, elle fixait un jeune homme.
Je n'arrivais pas a apercevoir son visage. Je vis dans la queue de courtisans, Ambre de Milistral, avec qui j avais fait connaissance lorsque j'étais de sortie. Elle avait toujours son aire lugubre et exaspérer. Mon amie Clémence de Pérelle suivait aussi toujours rayonnante. Angélique de Fontanges suivait derrière Mme de Montespant qui grossissais a vu d'œil.

- Monseigneur je pense que les tulipes iraient beaucoup mieux que les iris!

Persistée-je à dire a notre souverain. Oui, bien compliquer de savoir qu'elle ira le mieux les parterres du Petit Trianon. Ma robe voletait au vent tendit que mes boucles dresser tant bien que mal me cachait la vu. La canne du roi résonnait a chaque pas sur le gravier qui me détruisait les pieds. Je regardais ma terre espérant voir quoi que sa soie me faisant m'arrêter Quand je vis malgré moi une petit boîte en argent. Je m'arrêter net le roi me suivit du regard et s'arrêta a son tour.

-Louis, je viens d'apercevoir une petit boîte. Puis-je aller la ramasser ???

Il me fit un signe de tête presser. Comprenant qu'il n'avait pas que sa a faire je pris mes jupons pour ne pas les salir et partie vers un buisson. La boîte était bien en Argent et décorer d'une gravure qui signifier: pour Marie. Je la ramassis, caressant son dos je l’ouvris pour découvrir à l’intérieur un jolie pendentif en or relié a un fils en velours violet. Je souriait de cette découverte. Cela devait un cadeau d’amour entre un noble et sa fiancée. Mais celle-ci aurait voulu le cacher ou sans s’ éparer.

Je revins vers le roi, mes jupons toujours en mains. Lui parlait avec Mlle de Fontange dont on penser que son cœur c’était éperdue. Mon sourire aux lèvres, je lui tendit la boîte, toute fière de mon petit butin.

-Regardait comme c’est mignon!

Joignant le geste a la parole je l’ouvris et sortis le petit pendentif. Le roi fit de gros yeux, prit le collier et regarda la médaille. Il posa sa main sur son front. Je savait que mon amie avait des souci de santé en se moment et qu’il fallait le modérer.

-Mon amie, aller vous bien ???
-Ah! Ma chère, ma santé me joue encor des tours venait avec moi vous asseoir sur le banc, que vous-voyez là.

J’approuvais d’un signe de tête la main du souverain sur la mienne. Il congédia les nobles et nous allâmes nous asseoir sur le banc en marbre.

-Je vous ai menti sur mon malaise. Dites moi savez-vous a qui appartiens ce collier ???
-Non, Votre Majesté, mais faut-il que je le sache???
-Oui? Et je vais vous en dire le propriétaire. Ce collier appartient a l’enfant avec qui je houait quand moi-même j’en était un. Elle s’appelait Marie et était fille d’une servante à ma mère. Je lui avait offert le jour de son départ……

Je n’écoutais plus le souverain, car je mettais concentré sur Eve qui avait le visage blême. Ma demoiselle de compagnie trembler de tout ces membres. Je voyais qu’il fallait au plus vite partir.

-Oh! Louis peut-être bien qu’elle l’a simplement enterrer pensant que vous alliez le retrouver.

Il approuva d’un signe de tête et me se leva en me disant qu’il allait rentrer.

-Voulez-vous m’accompagner ?
-Monsieur, je sens une migraine je vais rentrez seul, Mlle Eternelle va me tenir compagnie.

Puis prenant mes jupons et me dirigeants vers mes appartements et posait cette question a Eve.

-Pourquoi trembles-tu ainsi ???